Le risque d’AVC est en effet accentué par une mauvaise hygiène bucco-dentaire, à cause d’une bactérie contenue dans la salive.
Cette dernière produit des molécules inflammatoires qui passent dans le sang et peuvent aggraver certaines pathologies.
Cette bactérie a la capacité de se fixer aux vaisseaux et de favoriser ainsi les risques de rupture d’anévrisme (AVC) (étude américano-japonaise datant de février 2016).